Auguste Blanqui

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photographie d'Auguste Blanqui en costume de ville.
Louis Auguste Blanqui photographié par Eugène Appert. Date inconnue, entre 1860 et 1881.

Louis Auguste Blanqui, surnommé « l’Enfermé », né le 19 pluviôse an 13 de la République (8 février 1805) à Puget-Théniers (Alpes-Maritimes) et mort le 1er janvier 1881 à Paris, est un homme politique, philosophe, journaliste et communard français, député de la Gironde en 1879. C'est un révolutionnaire socialiste français. Il prend part à la révolution de 1848 et à la Commune de Paris en 1870. Il fait partie des socialistes non-marxistes. L'historien Michel Winock le classe comme l'un des fondateurs de l'extrême gauche française, qui s'oppose aux élections démocratiques, les considérant comme « bourgeoises », et qui aspire à l'« égalité sociale réelle ».

Citations[ред.]

Il ne doit pas rester un fusil aux mains de la bourgeoisie. Hors de là, point de salut !
  • « Un Toast à la prochaine Révolution », Auguste Blanqui, L'Ami de la religion : Journal et revue ecclésiastique, politique et littéraire, nº 51, 1851, p. 518-520 (texte intégral sur Wikisource)


En présence des prolétaires armés, obstacles, résistances, impossibilités, tout disparaîtra. Mais, pour les prolétaires qui se laissent amuser par des promenades ridicules dans les rues, par des plantations d’arbres de la liberté, par des phrases sonores d’avocat, il y aura de l’eau bénite d’abord, des injures ensuite, enfin de la mitraille, de la misère toujours !
  • « Un Toast à la prochaine Révolution », Auguste Blanqui, L'Ami de la religion : Journal et revue ecclésiastique, politique et littéraire, nº 51, 1851, p. 518-520 (texte intégral sur Wikisource)


Articles connexes[ред.]

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